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Groupe AREP

Philippe Bihouix a travaillé comme ingénieur-conseil ou dirigeant dans différents secteurs industriels, en particulier les transports et la construction, avant de rejoindre récemment le groupe AREP, agence d’architecture interdisciplinaire et filiale de la SNCF, comme directeur général adjoint. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la question des ressources non renouvelables et des enjeux technologiques associés, en particulier L’âge des low tech. Vers une civilisation techniquement soutenable (Seuil, 2014) et Le bonheur était pour demain. Les rêveries d’un ingénieur solitaire (Seuil, 2019).

  • Conférence(s) 🔒

  • Cycle annuel 2020 15 mai 2020 Pour vous connecter à la conférence, cliquez sur le lien : 
    https://us02web.zoom.us/j/84432861369
    ID réunion : 844 3286 1369
    Croissance verte ou « low tech  » : quelle innovation dans un monde contraint en ressources ? Nous commencerons par un exercice de controverse sur la question : « high-tech ou low-tech pour répondre aux défis de la transition ? », sur lequel Philippe Bihouix réagira.
    Tandis que tous les indicateurs sur l’état planète virent au rouge (effondrement de la biodiversité, dégradation et destruction des sols, changement climatique, pollution généralisée, tensions sur l’énergie et les matières premières), nous sommes submergés par les annonces sur les avancées scientifiques ou technologiques bénéfiques.
    Les technologies « vertes  » seraient sur le point de transformer nos sociétés, et de sauver la planète (et la croissance) grâce à une nouvelle révolution industrielle, celle des énergies renouvelables, du numérique, des réseaux intelligents, de l’économie circulaire, des smart cities, des voitures autonomes, des nano-bio-technologies ou des imprimantes 3D.
    Mais ces innovations sont trop souvent consommatrices de ressources minières limitées et leur raréfaction rend, à terme, la mise en œuvre d’une telle économie high tech bien risquée. Et s’il fallait explorer une autre voie, celle de technologies sobres, agiles et résilientes, et s’orienter vers une civilisation techniquement soutenable ?
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